Déposé le 24 octobre 2016 par : M. Viala, M. Tardy, M. Furst, M. Dive, Mme Pernod Beaudon, M. Suguenot, M. Vitel, Mme Zimmermann, M. Berrios, M. Daubresse, M. de Mazières, M. Morel-A-L'Huissier, M. Hetzel, M. Lurton, Mme Lacroute, M. Siré, M. Ledoux, M. Degauchy, M. Lett.
Après l’alinéa 17, insérer l’alinéa suivant :
« c) L'avant-dernier alinéa est supprimé. »
Dans cet article, le Gouvernement souhaite garder un rythme d’augmentation de la péréquation. La progression de la péréquation s’établit à hauteur de 317 millions d’euros : 180 millions d’euros de DSU (dotation de solidarité urbaine) avec une concentration sur les deux tiers des communes de plus de 10 000 habitants contre les trois quarts aujourd’hui ; 117 millions d’euros de DSR (dotation de solidarité rurale) et 20 millions d’euros de dotation de péréquation des départements. Pour les communes les plus fragiles, la baisse des dotations sera ainsi quasiment compensée par la hausse de la péréquation sauf que ce sera pénalisant pour les collectivités qui ont une stratégie très dynamique. Depuis 2012, le montant mis en répartition au titre de la dotation nationale de péréquation est au moins égal à celui mis en répartition l’année précédente. Il est donc nécessaire de stopper cette évolution constante afin de limiter le taux de participation pour certaines collectivités.
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