Les amendements de Antoine Herth pour ce dossier

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Monsieur le ministre, l’examen en commission élargie du budget du ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la forêt et des affaires rurales pour 2015, une nouvelle fois en baisse, nous a permis de vous interroger sur les nombreuses facettes de votre fonction mais vos réponses, parfois succinctes et le plus souvent malheureusement inexi...

Je ne suis pas certain que vous aurez rassuré beaucoup d’éleveurs avec ce genre d’affirmation. La vérité, monsieur le ministre, c’est que le loup est hors de contrôle. ( « Eh oui ! » sur les bancs du groupe UMP.) Un mot sur le programme 215 « Conduite et pilotage des politiques ». J’ai été surpris par l’indicateur « Taux d’utilisation des tél...

Je souhaite aborder un aspect plus technique de nos discussions. J’ai constaté qu’il y avait un peu de cafouillage dans la distribution des amendements. Par exemple, je ne dispose pas de l’amendement du Gouvernement ; je vais donc avoir quelque difficulté à me prononcer à son sujet.

Nous avons cependant compris, en écoutant M. le ministre, quelle était la teneur du débat, et je ne voudrais pas bloquer inutilement la discussion. J’aimerais simplement, monsieur le président, que vous vous assuriez que pour la suite, l’ensemble des députés présents disposent des amendements en discussion.

Je ne reprendrai pas les arguments de mes collègues mais je voudrais vous faire part, monsieur le ministre, de mon malaise face à cet article qui opère une discrimination entre les coopératives d’utilisation de matériels agricoles – CUMA – et les entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers – ETARF. Les frontières sont parfois assez f...

Je partage les arguments qui viennent d’être développés. Monsieur le ministre, cette exonération représente 8 % d’argent en plus dans la poche des vendangeurs, ce qui n’est pas négligeable.

Vous avez des doutes, monsieur le ministre : vous ne savez pas si l’argent va effectivement dans la poche des vendangeurs. Ce dont on est certain, c’est que la suppression de cette mesure va sortir de l’argent de la poche des vendangeurs, alors que le CICE ira dans la poche du patron – vous l’avez dit vous-même. M. Chassaigne devrait bondir de ...

Monsieur le ministre, je ne doute pas que vous ayez entendu parler de la drosophila suzukii. C’est un nouveau ravageur installé dans nos terroirs et qui, pour la première fois, a attaqué les vignes en Alsace, après avoir dévasté d’autres régions, en particulier la vallée du Rhône. Ce n’est que grâce à des vendanges manuelles que la plupart des ...