Les amendements de Arnaud Richard pour ce dossier
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Monsieur le président, je demande, au nom de mon groupe, une suspension de séance. Comme mes collègues de l’UMP vous l’ont dit, il est très compliqué de suivre le débat, car nous n’avons pas la feuille jaune.
On me dit qu’elle arrive, mais elle est imprimée sur du papier blanc : il faut donc croire qu’il y a un problème. Pour ma part, je ne l’ai pas, et je suis perdu.
Le présent amendement a vocation à réaffirmer l’universalité des allocations familiales – c’est presque un engagement du Président de la République, c’est ce qu’il a déclaré, en tout cas, aux associations familiales. La politique familiale permet – mais on n’en est pas sûr – d’avoir un taux de natalité extrêmement élevé par rapport au reste de...
On peut ne pas le dire, sauf que c’est la réalité. Vous ponctionnez les familles pour financer les retraites que vous n’avez pas réformées, mon cher collègue Issindou. L’argument budgétaire est donc proprement mensonger, mes chers collègues, car notre politique familiale fonctionne ! Que vous n’ayez plus de famille politique, je le comprends. ...
Il est difficile d’intervenir sur autant d’amendements ! Je partage tout d’abord l’avis de M. Roumegas : personne sur ces bancs n’est pour ou contre la famille ! Laisser entendre qu’on serait pour ou qu’on serait contre, ce n’est même pas le sujet : il s’agit en fait de sous, de comptabilité ! Le parti socialiste, s’il vote la proposition du Go...
parce que je pense qu’ils ne croient pas à ce qu’ils vont voter. Ils savent très bien que ce n’est même pas une question de riches, de pauvres ou de familles : ce n’est pas le sujet ! Il s’agit simplement d’un hold-up financier du Gouvernement sur la politique familiale ! L’argument du Gouvernement sur le lissage avait l’air sympathique, mais l...
Ce sera mon deuxième dans la soirée – mais, comme c’est seulement le deuxième depuis que je suis député, j’ai de la marge ! Il s’agit donc d’un rappel au règlement au titre de l’article 58, alinéa 1. Monsieur le président, je tiens à dire que vous avez excellemment présidé ce soir, et je tiens à m’excuser si j’ai remis en cause la présidence ...
À 18 voix contre 11, c’est-à-dire par trois voix de plus que la majorité requise, on vient de mettre à mal la politique familiale de notre pays, au travers d’un sous-amendement du Gouvernement.