Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier

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Les Français comprennent que le risque zéro n’existe pas, mais ils ne vous pardonneront pas d’avoir tergiversé, d’avoir hésité, d’avoir tremblé. Toutes ces mesures sont de nature à leur prouver notre détermination sans faille. Monsieur le Premier ministre, dans une grande démocratie comme la France, notre divergence d’analyse n’est pas une ent...

Ce qui est fini, c’est le temps des mots, qui ne suffisent pas à soulager la douleur des victimes et à pleurer les morts.

L’opposition s’exprime, c’est notre devoir, car nous ne sommes pas d’accord avec vous sur tout. Et, monsieur le Premier ministre, lorsque quelqu’un exprime un point de vue différent du vôtre ou émet des réserves sur la politique que vous menez, ne pensez pas de manière caricaturale qu’il n’est pas à la hauteur des circonstances !

Être à la hauteur de la situation, c’est d’abord prendre toutes les décisions, mettre en oeuvre tous les moyens que la sécurité de nos compatriotes exige.

Et cela, pour une raison simple, qui résonne comme une évidence après dix-huit mois d’horreur : les Français ne supporteront plus longtemps que des innocents soient enlevés à leur famille comme si c’était une fatalité. Il n’y a pas de fatalité !

Non, monsieur le Premier ministre, contre le terrorisme, on n’a pas le droit de dire que tout a été essayé. Vous avez raison de souligner que le combat sera long – mais parce qu’il sera long et difficile, et si nous voulons être dignes de la mémoire de celles et ceux qui sont partis trop vite, sans raison, il nous faut engager ce combat de mani...