Les amendements de Christophe Caresche pour ce dossier
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Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, permettez-moi tout d'abord de réagir aux propos des représentants de l'opposition qui se sont exprimés avant moi. Même si M. Mariton a fait un petit acte de contrition on n'en attendait pas moins de sa part , je trouve ses propos excessifs et surtout déplacés compte tenu de...
Ce que la majorité d'hier a légué à la France, c'est un double passif, et d'abord un passif en matière de déficit et de dette. Jamais la France n'a connu une dérive aussi prononcée de ses finances publiques que sous le quinquennat précédent, madame la ministre Pecresse, et c'est en partie pour cela que notre pays a tant de difficultés à sortir ...
Vous nous reprochez de nous renier, mais c'est bien M. Sarkozy qui, à peine élu, s'est précipité à Bruxelles pour dire qu'il ne tiendrait pas ses engagements dans le cadre du pacte de stabilité.
C'est bien M. Chirac qui, en 2004, s'est affranchi du pacte de stabilité, ce qui a eu des conséquences très lourdes pour la suite. L'opposition n'a pas de leçons de sérieux à nous donner, car elle n'a pas été sérieuse. Et compte tenu de son bilan, on pourrait attendre qu'elle fasse preuve d'un peu plus de sens des responsabilités et de l'intér...
Il est vrai qu'avec ce programme de stabilité, le Gouvernement adapte ses perspectives budgétaires à une conjoncture qui n'est malheureusement pas celle que l'on espérait. Il le fait avec une double préoccupation, et d'abord avec celle de maintenir l'effort de réduction du déficit. Il n'y a pas de relâchement sur ce plan dans le programme de st...
d'avoir été jusqu'au bout du raisonnement, en évaluant les conséquences de ce qu'il appelle un scénario bas, fondé sur des hypothèses de croissance plus faibles que celles retenues par le programme de stabilité, à savoir 0,1 % en 2013 et 0,7 % en 2014. Que constate-t-on à la lecture du rapport de M. Eckert ? D'abord que la trajectoire d'assai...
Certains de nos partenaires, à la Commission européenne, auraient peut-être souhaité que la France fasse davantage en matière d'ajustement, mais je crois que la France a raison de fixer un cap qui préserve nos capacités de croissance. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)