cosignée par Élie Aboud, Julien Aubert, Patrick Balkany, Étienne Blanc, Marcel Bonnot, Philippe Briand, Bernard Brochand, Jérôme Chartier, Alain Chrétien, Édouard Courtial, Marc-Philippe Daubresse, Jean-Pierre Decool, Bernard Deflesselles, Lucien Degauchy, Sophie Dion, Jean-Pierre Door, David Douillet, Georges Fenech, Marie-Louise Fort, Marc Francina, Georges Ginesta, Charles-Ange Ginesy, Jean-Pierre Gorges, Arlette Grosskost, Jean-Claude Guibal, Michel Heinrich, Patrick Hetzel, Denis Jacquat, Valérie Lacroute, Lionnel Luca, Jean-Claude Mathis, Damien Meslot, Pierre Morange, Pierre Morel-A-L'Huissier, Alain Moyne-Bressand, Yves Nicolin, Bernard Perrut, Axel Poniatowski, Didier Quentin, Jean-Luc Reitzer, Paul Salen, Dominique Tian, Patrice Verchère & Philippe Vitel
Mesdames, Messieurs, « Gouverner, ce n'est pas plaire. » François Mitterrand.
Cette citation extraite d'une interview de François Mitterrand (1) en 1981 aurait pu donner des espérances à toutes les entreprises françaises.
Si les gouvernements socialistes successifs avaient appliqué cette maxime, à l'instar de leurs collègues outre-Rhin, cette proposition de loi n'aurait sûrement aucune raison d'exister.
La retraite à 60 ans a été l'une des mesures les plus emblématiques de son premier septennat.
Le passage de la retraite de 65 à 60 ans n'a toutefois pas fait l'objet d'une loi votée par le Parlement mais a été adopté par ordonnance daté du 26 mars 1952 où l'on pouvait lire « L'abaissement à 60 ans de l'âge de la retraite est une aspiration sociale ancienne qui n'a pas reçu jusqu'à présent une réponse satisfaisante ». Cette dernière souligne ainsi que cela « constituera une étape significative de la politique de progrès social mise en oeuvre par le...
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