de la sélection à l'entrée de l'université, qui n'aurait pour conséquence que de nourrir brutalement le flux des « décrocheurs » et nierait le besoin de maturation des choix des étudiants, et propose en revanche de mieux réguler le développement des licences « sélectives ». À l'inverse, elle estime opportun d'astreindre toutes les formations sélectives à une obligation de publication de leurs critères et de leurs résultats de sélection.
En parallèle, la licence, affectée par un taux d'échec très excessif, doit redevenir une étape valorisée du parcours LMD. Pour y parvenir, il importe de persévérer dans le mouvement de rationalisation des intitulés et d'ancrer son déroulement dans une logique d'abord pluridisciplinaire, puis de plus en plus spécialisée.
En outre, la licence doit redevenir un diplôme valorisé dans le monde professionnel notamment, en enrichissant les modules proposés de formations professionnalisantes, notamment en association avec...
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