cosignée par Damien Abad, Yves Albarello, Olivier Audibert Troin, Patrick Balkany, Marcel Bonnot, Valérie Boyer, Bernard Brochand, Dino Cinieri, Philippe Cochet, Édouard Courtial, Jean-Pierre Decool, Bernard Deflesselles, Jean-Pierre Door, Georges Fenech, Alain Gest, Philippe Gosselin, Claude Greff, Anne Grommerch, Arlette Grosskost, Françoise Guégot, Laure de La Raudière, Valérie Lacroute, Thierry Lazaro, Alain Leboeuf, Geneviève Levy, Jean-François Mancel, Thierry Mariani, Philippe Armand Martin, François de Mazières, Jean-Luc Moudenc, Yves Nicolin, Patrick Ollier, Fernand Siré, Éric Straumann, Guy Teissier, Jean-Marie Tetart, Jean-Sébastien Vialatte, Philippe Vitel & Michel Voisin
Mesdames, Messieurs, Le mode de scrutin a un effet structurant sur la vie démocratique et il n'est pas étranger à la « volatilité » dont fait preuve notre électorat depuis plusieurs années.
Il faut une alternance claire entre deux grandes formations à vocation majoritaire.
Il ne s'agit pas d'écarter l'expression de courants d'opinions minoritaires mais de pousser les formations à se fédérer pour offrir aux Français une alternative de gouvernement crédible à tous les niveaux : national, régional, départemental et municipal.
Il ne faut pas laisser aux candidats ou aux formations qui n'ont aucune chance de remporter la majorité la possibilité de se maintenir au second tour, et de perturber ainsi, souvent par un discours démagogique, le bon déroulement de l'expression de la volonté populaire.
L'éventualité de « triangulaires » au second tour constitue une incitation permanente pour les partis tiers à adopter une attitude systématique d'opposition afin de...
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