cosignée par Damien Abad, Bernard Accoyer, Julien Aubert, Olivier Audibert Troin, Thierry Benoit, Valérie Boyer, Marine Brenier, Bernard Brochand, Luc Chatel, Alain Chrétien, Jean-Louis Christ, Éric Ciotti, Marie-Christine Dalloz, Jean-Pierre Decool, Dominique Dord, Yannick Favennec, Yves Fromion, Laurent Furst, Annie Genevard, Alain Gest, Claude Goasguen, Philippe Gosselin, Arlette Grosskost, Jean-Jacques Guillet, Michel Herbillon, Nathalie Kosciusko-Morizet, Laure de La Raudière, Valérie Lacroute, Guillaume Larrivé, Véronique Louwagie, Lionnel Luca, Thierry Mariani, Olivier Marleix, Jean-Claude Mathis, Gérard Menuel, Pierre Morange, Bernard Perrut, Jean-Luc Reitzer, Paul Salen, Fernand Siré, Claude Sturni, Alain Suguenot, Michèle Tabarot, Lionel Tardy, Dominique Tian, François Vannson, Francis Vercamer, Michel Voisin & Marie-Jo Zimmermann
Mesdames, Messieurs, Depuis plus de trois mois, une minorité syndicale tente de paralyser le pays.
Des appels à la grève sont étendus dans les secteurs clés de notre économie, paralysant notre pays (SNCF, RATP, raffineries, centrales, routiers, blocage de la parution de journaux...). La Confédération Générale du Travail (CGT) a même lancé un appel à la grève « illimitée », demandant une réouverture des négociations dans le projet de loi visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs.
Pourtant, c'est déjà sous la pression de cette minorité syndicale et conservatrice que ce texte, anciennement prometteur, va aujourd'hui à l'inverse de ses objectifs initiaux : davantage de contraintes pour notre tissu économique, de lourdeurs et de pressions, notamment pour les petites entreprises et les entreprises artisanales.
A l'heure ou la réforme de notre code du travail est plus que jamais urgente, attendue et...
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