Mesdames, Messieurs, La loi de bioéthique du 7 juillet 2011 régit d'une manière particulièrement restrictive la recherche sur les cellules souches embryonnaires.
Pourtant, l'enjeu, c'est la médecine régénératrice.
Ce sont les thérapies cellulaires, qui visent à remplacer des cellules déficientes ou insuffisamment nombreuses par des greffes de cellules.
Ces recherches ouvrent la voie au traitement d'affections graves et souvent incurables aujourd'hui : maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques), cardiopathies, hépatites, diabète insulino-dépendant, lésions de la moelle épinière.
Le vote consensuel du 22 janvier 2002 Au début des années 2000, avec la ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargée notamment de la Santé, le ministre de la Recherche avait élaboré un projet de loi de bioéthique visant à réviser la législation initiale de 1994. Avec la volonté de parvenir à un large consensus, dépassant les clivages...
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