Les amendements de Dominique Dord pour ce dossier

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Le premier jour, il est allé voir Mme Merkel. Il lui a dit : « Madame Merkozy, je veux renégocier votre traité. » Elle lui a dit : « Nein ! »

Le deuxième jour, il a voulu casser tout ce qu'avait fait Nicolas Sarkozy. Finies, les heures supplémentaires pour 8 millions d'ouvriers et d'employés ! Il a dit : « Au diable, le pouvoir d'achat des classes moyennes ! » Le troisième jour, il a levé 30 milliards d'impôts. Tous les riches ont quitté le pays et il a dit : « Au diable les riches ...

Le quatrième jour, il s'est fait plaisir. Il a levé 7 milliards de dépenses, en créant, par exemple, 60 000 postes dans l'éducation.

Il a dit : « Je refuse de céder au diktat des 3 % ! Nous serons à 3,6 % ! » On apprend aujourd'hui qu'il est à 3,9 %. Il a dit : « Vive les déficits et vive les marchés financiers ! »

Le cinquième jour, il a récompensé Mme Royal : il a fait d'elle une banquière, parce qu'elle le vaut bien ! Et il a dit : « Au diable la République irréprochable ! »

Le sixième jour, il a envoyé la police contre les familles qui tentaient de s'accrocher au peu de repères qu'elles avaient encore. Et il a dit : « Au diable les familles, les religions, les conservateurs et les rétrogrades ! Vive le progrès ! Vive les LGBT les lesbiennes, gays, bi et trans ! »

Enfin, le dernier jour, comme le veut la tradition, il s'est reposé. Il est monté sur le mont Corrèze avec Valérie

pour contempler son oeuvre, et là, il a vu une France en ruine, des Français sans un sou, sans espérance, sans avenir, sans fraternité. Et il a eu cette phrase historique, il a dit : « Je sais que je tiens le bon cap. » Alors, il est revenu à Paris en train, comme il l'avait promis !