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... de le porter à 20 %. Cela dissuadera immanquablement les entreprises de s'engager dans ce dispositif et privera les salariés de ce bénéfice. J'aurais compris, dans le contexte de crise actuel, que le taux augmente de deux points pour atteindre 10 %. Mais le multiplier par 2,5 est incompréhensible. Pourrions-nous nous accorder sur une hausse raisonnable du forfait social ? De grâce, acceptez nos amendements de suppression afin que nous puissions reprendre le dialogue sur cette base.
Je suis jeune, j'espère que Dieu me prêtera vie et que je vous écouterai longtemps ! il y a leurs déclarations d'amour depuis quelques années. Vous vous réclamez souvent, en le citant, du général de Gaulle, mais, comme en amour, il faut aussi parfois des preuves d'amour. Parmi les choses admirables de l'héritage politique qu'il nous a laissé, il y a la participation et l'intéressement, et c'est une idée gaulliste que vous êtes en train d'assassiner. (Exclamations sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Je peux vous donner moi aussi des exemples, à Tourcoing...
... soir annonce de mauvais coups à venir ! Vous l'avez dit, vous n'aimez pas, par idéologie, l'intéressement et la participation. Or ils dépendent des résultats de l'entreprise et sont le fruit du dialogue social dans l'entreprise. Voilà pourquoi il faut, selon nous, les préserver, et ne pas prélever dans la poche des classes moyennes ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI.) (Les amendements identiques ne sont pas adoptés.)
L'historique du taux a été rappelé tout à l'heure. M. le ministre délégué m'a reproché d'avoir changé d'avis. Ce n'est pas le cas : je critique le texte du Gouvernement en raison de la brutalité de la hausse, et c'est pourquoi nous proposons cet amendement de lissage, de deux points en deux points, jusqu'à la fin de la législature. C'est plus raisonnable que de passer brutalement de 8 à 20 %, car en agissant brutalement on suscite des effets indésirables.
Cela ne dévoie rien ! (Les amendements identiques nos 75, deuxième rectification, 92 et 468, repoussés par le Gouvernement, ne sont pas adoptés.)
Mes chers collègues, 15 %, c'est mieux que 20 %. L'amendement est défendu. (Sourires.)
L'argumentation est simple, la réponse est claire : défavorable. (L'amendement n° 77, repoussé par le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Eh bien 20 reste 20. Défavorable. (L'amendement n° 76, repoussé par le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Il s'agit d'un amendement de précision. (L'amendement n° 197, accepté par le Gouvernement, est adopté.)
Défavorable. Tout d'abord, ce sont des amendements coûteux. Ainsi, l'amendement n° 146 coûte à lui seul 200 millions d'euros.
Je ne vais pas prolonger le débat (Exclamations sur plusieurs bancs des groupes SRC et GDR) puisqu'il s'agit d'un amendement assez proche de ceux qu'avait déposés le président Carrez en commission. C'est toujours la même idée : encourager l'épargne longue.
L'amendement vise à consolider les recettes en prévoyant que l'augmentation du forfait social est bien destinée aux régimes de retraite de base, à parité entre la CNAV et le FSV. (L'amendement n° 168 rectifié, accepté par le Gouvernement, est adopté.)
et les Français ont désormais une vision globale de l'augmentation que vous leur avez réservée dans ce collectif ; viendra le budget pour 2013, et on peut d'ores déjà craindre le pire. « Après Agésilas, hélas ! Après Attila, holà ! » (Sourires et exclamations sur les bancs du groupe UDI.) (L'amendement n° 169 est adopté.)