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...ence et, comme je l’ai dit tout à l’heure, sur le travail en bonne intelligence de pôles réunis afin d’éviter les futures tensions que notre vote entraînera probablement. Je fais en tout cas confiance à notre rapporteur. J’ai fait confiance à son jugement et je continue à le faire car il a réalisé une analyse approfondie et juste de la situation extrêmement tendue et complexe de l’université des Antilles. Christophe Premat a fait montre de courage en étant cohérent avec les conclusions de son rapport et les auditions qu’il a conduites. Je regrette que nous n’ayons pas pu suivre ses recommandations et que nous n’ayons pas pu en discuter plus longuement en commission, comme je l’ai rappelé, et non dans le cadre de l’article 88. Nous voterons pourtant cette loi,…
En premier lieu, je souhaite évidemment saluer le travail réalisé par notre rapporteur Christophe Premat. Avec la grande maîtrise du sujet qui le caractérise, il a su nous montrer les tenants, les aboutissants et l’extrême complexité de la situation de l’université des Antilles. Le président de la commission nous a également mis en garde et nous a placés devant nos responsabilités de députés : avant toute chose, il n’est pas question de régler un problème entre région et départements mais, comme j’y ai moi-même insisté pendant nos débats, de considérer l’esprit de la loi. En l’occurrence, il s’agit de constituer un pôle universitaire lisible par tous les étudiants afi...
Madame la secrétaire d’État, monsieur le président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, mes chers collègues, je suis surpris par le déroulement de notre débat qui, à mon sens, ne grandit pas notre démocratie. Comme nos collègues l’ont dit, la situation de l’université des Antilles est tout de même aujourd’hui dramatique et il faut en sortir. Le passage en force des amendements du Gouvernement montre bien qu’il détruit le consensus élaboré au Sénat. En ce qui nous concerne, et pour cette raison-là, notre groupe s’abstiendra.
Madame la secrétaire d’État, je tiens tout d’abord à dire que nous n’avons pas travaillé sur ce texte en commission dans un souci politicien mais avec l’avenir de l’université des Antilles au coeur.
J’ai entendu chacun de nos collègues s’exprimer mais je considère que ce qui est important, c’est la volonté des hommes d’avancer. Nous sommes assez intelligents en Guadeloupe et en Martinique pour donner à l’université des Antilles les moyens de fonctionner. Hier encore, je demandais à Mme la secrétaire d’État de mettre tous les moyens afin que l’université des Antilles puisse collaborer dans les meilleures conditions avec celle de la Guyane. J’ai entendu tellement de choses… J’évite le plus souvent de prendre part à des discussions – telle est un peu ma façon de raisonner – mais j’aurais aimé dire à certains parlementaire...