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... s'appliquera pas non plus à la S.A. BPI-Groupe. Pourtant, le Gouvernement a souhaité que des représentants des salariés puissent siéger au conseil d'administration. Vous regrettez qu'ils ne soient que deux, et non pas quatre, mais ils seront bien représentés. Encore une fois, nous devons respecter l'équilibre de la composition du conseil d'administration. Je vous demanderai donc de bien vouloir retirer vos amendements ; sinon, je serai contraint de donner un avis défavorable de la commission.
... le Gouvernement. Si aujourd'hui je ne doute pas de l'impartialité de l'État dans cette affaire, la majorité peut changer. On prend donc peut-être un risque pour l'avenir. Je ne doute pas non plus de l'indépendance du directeur général d'aujourd'hui qui, comme vous l'avez dit, a défendu son institution bec et ongles, sous l'attention vigilante du membre de la commission de surveillance. Je vais retirer mon amendement. Toutefois, des faits ayant montré, dans les années précédentes, que l'État impartial est parfois devenu un État partial, il faudra se pencher sur cette question. (L'amendement n° 20 est retiré.)
Le ministre a répondu par avance à la préoccupation que j'exprime à travers cet amendement. Compte tenu de l'accord qui est intervenu sur la composition du CNO et des propos du ministre pour que le président du CNO puisse siéger, non à titre honorifique mais sans droit de vote dans le conseil d'administration, je vais retirer cet amendement. Quant à la gouvernance, pour des raisons de décentralisation, de souplesse, de diversité de l'appareil productif dans les régions, pour que le monde de l'entreprise, industriels ou salariés, soit directement représenté, j'aurais préféré qu'on ne définisse pas précisément les CRO. (L'amendement n° 64 est retiré.)