Interventions sur "paris"

23 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois-Michel Lambert :

... les contraintes de réalisation des logements sociaux. L'objectif de mixité sociale est la pierre angulaire de l'action du Gouvernement. L'effort de logement doit aussi et surtout être équitablement réparti entre les quartiers, les rues, les immeubles. Il en va ainsi de la loi PLM, dont l'hétérogénéité entre arrondissements n'est plus supportable. Le décompte doit se faire par arrondissement, à Paris, à Marseille et à Lyon. Il faut arrêter cette logique de zonage entre des quartiers dédiés au logement social et des secteurs privilégiés et protégés au bénéfice exclusif de quelques propriétaires. La France moderne s'est bâtie dans les villes avec cette capacité de mixer les couches sociales par immeuble. La mixité dans les quartiers constitue une richesse, faite des différences qui composent l...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHenri Jibrayel :

... sont pas seulement les SDF qui doivent immédiatement se voir offrir un hébergement permanent et durable en vue d'obtenir un logement. Les mal-logés, ce sont aussi toutes celles et ceux qui vivent dans un habitat insalubre, qui sont entassés dans des logements trop exigus ou qui subissent une cohabitation forcée. J'ai encore en tête l'abominable incendie de l'été 2005, boulevard Vincent Auriol à Paris : dix-sept personnes dont quatorze enfants avaient péri. À droite comme à gauche, l'ensemble de la classe politique était alors unanime pour faire du mal-logement, une priorité nationale. Hélas ! les annonces faites par le gouvernement Villepin n'ont jamais été suivies d'effet. Aujourd'hui, plus que jamais, il y a urgence, car les dix ans de politique de droite, auxquelles il faut ajouter les ef...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-François Lamour :

...estion ne devait pas figurer dans votre projet de loi. C'est pourtant l'une des causes du mal-vivre dans ces quartiers, comme l'ont souligné plusieurs interventions, y compris sur les bancs de la gauche ; malheureusement, vous ne proposez rien, ou quasiment rien, dans votre texte. Nos amendements ont pour but permettre aux bailleurs sociaux, aux maires des communes ou des arrondissements, pour Paris, Lyon et Marseille ainsi qu'aux forces de police de travailler ensemble. Ils proposent que, quand cela est nécessaire, le bailleur social puisse écarter une famille qui pourrit une cage d'escalier par son comportement délictueux et ses incivilités. Car c'est à cause de ces familles, madame la ministre, que les gens baissent la tête quand ils rentrent chez eux le soir, ou qu'ils repartent le len...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Goujon :

Je suis maire d'un arrondissement parisien, je sais de quoi je parle ! La préfecture de police a développé un dispositif de vidéoprotection dans Paris sur la voie publique, mais il n'y a absolument rien, à l'heure actuelle, dans les logements sociaux. Et Paris n'est pas la seule concernée. C'est la raison pour laquelle nous proposons le développement de la vidéoprotection chez les bailleurs sociaux.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Goujon :

...roposons des mesures de bon sens visant à renforcer la tranquillité dans les logements sociaux. Vous êtes complètement à côté de la plaque ! Ce sont des mesures concrètes et précises, qui peuvent apporter une réelle amélioration dans ces logements. L'amendement n° 55 est la prolongation des deux amendements qui viennent d'être défendus, puisqu'il prévoit de permettre au maire de la commune, et à Paris, Lyon et Marseille, aux maires d'arrondissement, de convoquer le locataire en question et toute personne occupant son logement, en présence d'un fonctionnaire de police et d'un représentant de l'organisme de HLM, pour lui rappeler simplement ses responsabilités c'est vraiment de la prévention sociale avant que le bailleur ne mette en oeuvre la clause résolutoire que vous avez évoquée ou saisi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-François Lamour :

Nous partageons tous le souci de remédier au manque de logements sociaux dans notre pays. Mais un problème de production de logements se pose également en ce qui concerne le logement étudiant. Il est trop peu développé. À Paris, par exemple, seuls 2 % des étudiants ont accès à un logement spécifique, et le paiement du loyer représente en moyenne 82 % de leur budget.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Mazetier :

Cela fait dix ans que la ville de Paris demande désespérément à l'État de devenir acquéreur de cette emprise, ce qui permettrait de créer des logements de toutes catégories, de mettre en place des équipements publics, et de répondre à la cherté des loyers et du foncier à Paris. Eh bien, figurez-vous que Mme Pécresse, quand elle était chargée de l'université et de la vie étudiante, avait proposé d'y réaliser des logements étudiants, et ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Goujon :

...caserne de Reuilly est aujourd'hui libre, c'est aussi parce que le gouvernement précédent a décidé de construire un ministère de la défense à Balard, décision d'ailleurs confirmée par l'actuel gouvernement. Deuxièmement, madame Mazetier, je vous cite un contre-exemple dans le XVe arrondissement : les locaux du Laboratoire central des ponts et chaussées ont été mis à la disposition de la Ville de Paris par le gouvernement précédent. Nous avons proposé qu'y soient construits des logements étudiants. Le maire de Paris a refusé. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) (L'amendement n° 59 n'est pas adopté.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-François Lamour :

...e bon sens, qui diversifient l'offre et permettraient d'employer des pieds d'immeubles qui d'ailleurs ne sont le plus souvent pas utilisés, sinon par quelques associations, rarement des commerces ? Or nous voulons offrir la possibilité d'installer des micro-crèches. Je vous rappelle qu'il s'agit d'un dispositif très simple à mettre en place. Vous soutenez qu'il existe déjà, madame Lepetit, mais à Paris, cela ne se fait jamais.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Goujon :

Maintenant que l'institution des maires d'arrondissement à Paris, Lyon et Marseille est bien établie et reconnue, il convient de faire évoluer la loi PLM en matière d'attribution de logements sociaux. C'est la raison d'être de ces deux amendements. L'amendement n° 69 vise à permettre aux maires des arrondissements de participer avec voie délibérative aux commissions d'attribution tenues par les bailleurs sociaux alors qu'à présent seul le maire de la commune ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Goujon :

...té le plus fort possible. C'est la raison pour laquelle, afin d'éviter de bouleverser davantage la vie de ces personnes et de ces familles, nous proposons, par cet amendement, que leur soit offerte, lorsque c'est possible en tout cas, une solution de relogement à proximité de leur ancien domicile. Elles seraient relogées dans la même commune ou au sein du même arrondissement pour les communes de Paris, Lyon et Marseille. Cela permettrait de maintenir les liens sociaux que ces personnes ont déjà tissés.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Goujon :

...et ne permet pas d'assurer de manière équilibrée la répartition des demandeurs sur un territoire. C'est pourquoi l'amendement n° 67 ouvre une réflexion sur la possibilité de permettre à une société d'économie mixte, constituée au niveau de l'intercommunalité, de désigner les candidats à l'attribution d'un logement social, pour la partie du contingent non mise à la disposition des communes ou, à Paris, Lyon et Marseille, à la disposition des arrondissements.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-François Lamour :

J'ai entendu des « n'importe quoi ! » sur les bancs de la gauche. Il est tout de même bizarre que vous parliez ainsi du maire de Paris, car c'est exactement ce qu'il vient de faire ce matin au Conseil de Paris, en proposant une mission d'information et d'évaluation. Ne dites donc pas que c'est n'importe quoi, vous voyez bien que c'est une piste.