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Monsieur le président, madame la ou le ministre – « la ou le » pour concilier le respect de la langue française et l’envie de faire plaisir –, l’avortement est une blessure psychique et physique au coeur de la cité ; 220 000 enfants sont supprimés chaque année.
Il y a quand même quelque chose d’absolument colossal dans cette assemblée : on vous parle d’informations utiles pour les femmes enceintes qui désireraient avorter, mais, dans ces informations utiles, on interdit de montrer la réalité de l’avortement. Mais dans quel pays sommes-nous ? Comment concevez-vous la liberté d’informer les gens ? Ce que vous faites est totalement criminel. Et c’est tout à fait hostile à la liberté. Vous n’êtes pas des libertaires, vous êtes des totalitaires. C’est inadmissible !