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Monsieur le ministre délégué, nous prenons acte des 500 000 euros que vous avez annoncés pour 2013. S'agissant en revanche des montants prévus pour les années suivantes 1 million et 1,5 million d'euros , nous n'avons aucune certitude.
Monsieur le ministre délégué, permettez-moi de relever avec humour quelques contradictions dans vos propos sur l'ONAC. Soit, comme vous nous l'expliquez depuis le début de notre débat, son budget est exsangue et on ne peut rien faire ; soit, comme vous venez de l'indiquer à François Rochebloine, l'allocation différentielle pourra être portée à 932 euros et il faut en conclure que son budget n'est pas exsangue et donc qu'il a...
Monsieur le ministre délégué, je souscris pleinement aux propos de notre collègue Marc Laffineur. En confirmant l'engagement que vous avez pris dans le cadre de votre programme triennal ce dont je vous remercie , vous nous avez tendu une perche. Plutôt que d'annoncer que vous étudierez les possibilités et je ne doute pas que vous ferez le maximum pour obtenir satisfaction dans le cadre du projet de loi de finances pour ...
Non, je ne parle pas en tant qu'expert. Je me suis souvent opposé aux gouvernements, quels qu'ils soient. Monsieur le ministre délégué, je le répète, si vous prenez cet engagement, je serai prêt à retirer mon amendement, car je suis persuadé que le monde combattant serait satisfait de cette avancée importante. Je compte sur vous !
Les anciens combattants nous regardent et nous écoutent. Je sais que l'héritage est loin d'être brillant. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Je vous ai entendu, monsieur le ministre délégué je vous ai compris, comme disait le Général. (Sourires.)
Monsieur le rapporteur, « Errare humanum est, perseverare diabolicum » : cela fait deux fois que vous nous dites que la mesure est intéressante, et deux fois que vous vous y déclarez défavorable ! Monsieur le ministre délégué, vous ne répondez pas sur le fond aux amendements de nos collègues. De quoi s'agit-il ? Des appelés ont servi en Algérie pendant une période d'au moins quatre mois qui s'étend au-delà du 2 juillet 1962, date qui marque la fin de la guerre d'Algérie. Or, après cette date, ces appelés ont participé à des combats, parfois meurtriers : certains y ont perdu la vie et des milliers de harkis ont été mas...