Les amendements de Guillaume Chevrollier pour ce dossier
51 interventions trouvées.
Monsieur le Premier ministre, le déficit commercial de la France est reparti à la hausse l’an dernier. Encore une mauvaise nouvelle économique ! Il s’établit à 48,1 milliards d’euros, dépassant très nettement vos prévisions. Les conditions étaient pourtant favorables, avec la baisse de l’euro et une diminution de plus de 8 milliards de la factu...
Ces chiffres montrent combien la compétitivité de la France est atteinte, d’autant plus que nos voisins européens, eux, ont su réagir, comme l’Espagne ou l’Allemagne, dont l’excédent commercial a atteint 234 milliards d’euros ! C’est donc un constat d’échec magistral de votre majorité et de tous vos ministres de l’économie, dont je tairai la lo...
Nous ne pouvons que souhaiter l’alternance pour notre pays, seule capable d’apporter le redressement économique dont la France a besoin. Il est temps de redonner la liberté, le souffle indispensables à notre pays. En conclusion, monsieur le Premier ministre, un vrai projet de redressement s’impose !
Monsieur le Premier ministre, permettez à un élu de la Mayenne de répercuter les difficultés de ceux qui sont la force vive de nos territoires ruraux : les agriculteurs. Ils jouent un rôle essentiel pour le maintien de l’activité, la préservation de nos paysages et de notre tissu social. Ils participent aussi grandement à la qualité de vie qu’o...
Toutes les exploitations agricoles, notamment les exploitations familiales, doivent être soutenues et encouragées. Les agriculteurs n’en peuvent plus. Leur travail n’est pas justement rémunéré. Trop c’est trop ! Ils doivent faire face à des prix trop bas, dans toutes les filières, à des charges trop lourdes, à des négociations tendues et déséqu...
C’est donc un cri d’alarme que je vous lance, monsieur le Premier ministre : la situation des agriculteurs est périlleuse ; le devoir du Gouvernement est de les aider et de les soutenir. Quelles perspectives d’avenir pouvez-vous leur apporter ? Plus globalement, que faites-vous pour soutenir la ruralité ?
Monsieur le Premier ministre, le remaniement ministériel a des conséquences inattendues. La tentative de refonte de votre majorité se paie au prix fort pour l’Ouest de la France. Alors que cette grande région agricole souffre déjà, la voilà impactée par l’incapacité du Président de la République à prendre une décision. Je veux parler, bien sûr...
Comment concilier un ex-Premier ministre, devenu ministre des affaires étrangères, grand défenseur de ce projet, avec des écologistes divisés sur quantité de sujets, sauf celui de Notre-Dame-des-Landes ?
La défausse trouvée par le Président de la République pose plus de problèmes qu’elle n’en résout. C’est un déni de démocratie. Ce référendum est malvenu alors que les urnes viennent, à plusieurs reprises, et encore dernièrement aux élections régionales, de porter des équipes favorables à ce projet.
Quelle est sa base juridique ? Qui peut l’organiser ? Qui peut voter ? Le seul département de la Loire-Atlantique ? Sûrement pas alors que plusieurs départements sont concernés et financent cet aéroport. Le futur résultat de ce référendum est déjà contesté par les organisations écologistes et les zadistes qui annoncent d’ores et déjà qu’ils ne ...
Après l’alibi des décisions de justice, voilà qu’on se retranche derrière un référendum. L’autorité de l’État est à nouveau bafouée.
Monsieur le Premier ministre, je viens donc vous demander de faire cesser cette mascarade, de faire appliquer la loi, de respecter la justice qui, par cent cinquante-cinq décisions, autorise la lancée des travaux de cet aéroport du Grand Ouest.
Monsieur le ministre de l’agriculture, la crise agricole n’est pas derrière nous, loin s’en faut, et ce n’est pas polémiquer que de constater que la situation demeure insupportable pour nos agriculteurs, en particulier pour nos producteurs de porcs, de lait et de viande bovine. Le plan d’urgence de l’été dernier semble avoir eu peu d’effets su...
Quand une laiterie rachète 1 000 litres de lait 265 euros en ce début 2016 contre 330 euros en 2015 et 374 euros en 2014, un éleveur laitier peut-il continuer ?
Or, ces baisses des prix ne se répercutent pas sur les consommateurs, et l’opacité de la répartition des marges tout au long des filières est encore prégnante. Que faites-vous pour que le label Viande de France ait un réel effet auprès du consommateur français ?
Monsieur le ministre, vous avez déclaré, hier, dans cet hémicycle, qu’il fallait « donner de l’espoir aux filières par la contractualisation, par l’engagement de structurations ». Je suis d’accord, mais passez aux actes ! Les éleveurs français paient très cher la désorganisation, l’excès de normes et de contraintes, la concurrence et les effe...
L’État islamique, Daech, est l’une des organisations terroristes les plus riches de l’Histoire : les extorsions de fonds et les activités crapuleuses sont la principale source de ses revenus, devant le pétrole et le gaz. Son patrimoine est évalué à plus de 2 000 milliards d’euros et son budget, à 2,6 milliards d’euros en 2015. Monsieur le Prem...
Monsieur le ministre de l’agriculture, la colère gronde chez les agriculteurs dans tout l’ouest de la France. Mon département, la Mayenne, territoire à fort potentiel agricole par excellence, est bien évidemment concerné. Je vous avais déjà alerté, à plusieurs reprises, sur le ras-le-bol de nos agriculteurs, de nos éleveurs. Comment en effet s...
Aujourd’hui, la situation est tendue, la révolte est grande chez les éleveurs bovins, porcins, laitiers. Ils ne se contenteront pas de vos rustines, ni de vos grands principes. Comment voulez-vous qu’ils soient rassurés par votre proposition no 22 qui promet « une amélioration des relations contractuelles dans les filières animales » ? L’intent...
mais les agriculteurs veulent une réelle garantie des prix, une amélioration de la contractualisation au sein des filières, laquelle doit devenir saine et équilibrée, une révision des normes et des contraintes imposées ces dernières années, qu’un certain nombre de nos partenaires européens n’ont pas, eux, à supporter et qui freinent la compétit...