Les amendements de Hervé Gaymard pour ce dossier
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Ma question s’adresse à M. le Premier ministre, mais la réponse peut-elle venir du Gouvernement, de la majorité ou même de l’Élysée ? Face à la situation qu’il a lui même créée, le pouvoir semble perdu, car le pouvoir s’est enfui.
Parce qu’elle est républicaine et patriote, l’opposition ne se réjouit pas de voir notre pays tâtonner comme un grand corps malade au bord du gouffre, alors que l’ensemble de la croissance mondiale est reparti.
Nous sommes tristes et inquiets, mais nous sommes constructifs sans être naïfs. Au départ, il y a les malentendus : d’abord, l’idée que l’anti-sarkozysme pouvait tenir lieu de programme ; ensuite, l’idée que la crise de 2008, jugulée par Nicolas Sarkozy et François Fillon, ne serait pas durable.
Et puis, il y a les fautes : la relance de la dépense et le matraquage fiscal, qui ont accru le chômage et diminué les recettes
; la division des Français, en croyant détourner l’attention sur des sujets de société qui n’étaient pas la priorité ;…
…l’abandon de notre réforme territoriale pour un enlisement dans des textes douteux que personne ne comprend (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP) ; une politique économique qui oscille entre les vaines rodomontades et la méthode Coué. Enfin, il y a les erreurs : la politique du logement de Mme Duflot qui a tout arrêté ; les rythmes s...
Nous sommes dans une triple panne démocratique, économique et générationnelle puisque les jeunes ne croient plus à leur pays.