Je ne souhaite pas engager de polémique, mais nous avons débattu d'un projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation, qui prévoyait d'inscrire l'état d'urgence dans la Constitution. Plusieurs députés de votre groupe, monsieur Chrétien, avaient alors affirmé que cela ne servirait à rien, alors que cette inscription aurait permis de régler le problème.