Il s'agit de porter à quinze ans le quantum maximal des peines correctionnelles, comme le préconisent certains magistrats dont le procureur François Molins, ainsi qu'il l'avait déclaré devant la commission d'enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes que j'ai présidée l'an dernier. Cela permettrait une répression plus forte, sans avoir à passer par les cours d'assises.