Elles ne seront pas tranchées de façon définitive. Nous avions adopté des positions qui s'appuyaient sur le fait que la suppression des crédits de réduction de peine rendait les prisons totalement ingouvernables et en faisait des poudrières. Nous n'étions pas motivés par une soudaine envie de voir sortir des terroristes de prison, mais par l'intérêt du pays. C'était un problème de gestion de la population carcérale.