Les associations de protection de la nature sont encore une fois placées dans une situation de conflit d’intérêts manifeste, nous l’avions déjà dénoncé lors des lectures précédentes. Les associations dites scientifiques, en particulier l’ONCFS, sont tout à fait aptes à produire les données sur la base desquelles les plans d’action sont élaborés. Elles le font d’ailleurs formidablement bien, depuis des années, sans que personne n’y trouve à redire.
Pour employer une métaphore qui va peut-être vous faire sourire, cet amendement va faire entrer le renard dans le poulailler.