Compte tenu des éléments relatifs à sa rédaction qui viennent d’être évoqués, je retire mon amendement.
Mais je ne suis pas d’accord sur le fond. À force de saucissonner l’approche des problèmes, nous ne résolvons rien. C’est bien de mobilité urbaine que nous parlons, et le covoiturage en fait partie, de même que les nouvelles formes de mise en relation des personnes qui permettent de l’assurer. Il faudra bien, à un moment donné, sortir par le haut de la démarche très volontariste qui a été initiée – de ce point de vue, je salue ici M. le rapporteur. Il convient maintenant d’aller plus loin et repenser la mobilité urbaine avec toutes les offres existantes, qui vont bien au-delà des seuls taxis et VTC. Le citoyen qui se déplace ne se pose pas la question du choix entre taxi, VTC, métro, trottinette ou covoiturage, mais celle de l’efficacité par rapport à ses attentes propres : rapidité, confort, coût, disponibilité, etc.