Cinquièmement, dans un contexte de très forte compétitivité entre les nations pour les enjeux liés à la recherche, et sachant que votre éventuelle nomination déstabiliserait durablement l'INRA, comment allez-vous contribuer à enrayer la fuite de nos chercheurs les plus brillants vers les organismes de recherche étrangers ?
Sixièmement, vous avez indiqué que l'international était la cinquième priorité alors que l'INRA est aujourd'hui le deuxième institut de recherche agronomique au niveau mondial. C'est un peu surprenant. L'international ne devrait-il pas en réalité figurer au premier rang ?