Monsieur Philippe Mauguin, vous avez parlé d'innovations de rupture et de coconstruction. Je comprends mieux que cela dérange, mais cette initiative courageuse permettra de répondre à nos défis à venir et de mieux coopérer avec les universités, l'Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA), les instituts techniques, les chambres d'agriculture, la recherche privée et les réseaux d'agriculteurs. Comment comptez-vous associer ces différents partenaires pour réussir cette transition dont notre agriculture a besoin ?