Il y a eu quatre réunions préparatoires à l'installation du dispositif. Deux d'entre elles se sont déroulées en préfecture, le 28 juin et le 7 juillet ; elles ont fait l'objet de comptes rendus. Les deux autres se sont tenues à la DDSP, le 1er et le 12 juillet, et n'ont malheureusement pas donné lieu à compte rendu. Cet état de fait, très dommageable, s'explique paradoxalement par la confiance qui règne, ou plutôt qui régnait, entre les deux acteurs de la sécurité à Nice : ayant l'habitude de travailler ensemble, ces derniers avaient volontiers des échanges tout à fait informels. L'absence de comptes rendus a compliqué le travail de l'IGPN : nous avons entendu trop de « j'avais demandé ceci » et, en regard, de « je ne m'en souviens pas ». L'une de nos préconisations – peut-être pas la plus importante – est donc la formalisation des relations entre ces deux acteurs appelés à collaborer : c'est absolument indispensable.