S'agissant des bandes de vidéoprotection sur lesquelles figurent les images de l'attentat, vous nous avez indiqué que l'IGPN était saisie dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte par le procureur de la République de Nice, et que vous ne pouviez dès lors communiquer aucun élément à ce sujet – ce qui est parfaitement normal. Vous nous avez dit ceci : il ne vous serait « jamais venu à l'idée » de demander à voir les images, puisque cela vous était légalement interdit. Je comprends donc que cette analyse vaut également pour la direction centrale de la sécurité publique, dont l'intervention ne relève pas du cadre de l'enquête judiciaire puisque, comme l'a précisé le procureur François Molins dans son communiqué, seule la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) était saisie.