Le problème se présente en effet pour les personnes en cas d'évacuation sanitaire, mais aussi pour celles qui se rendent en métropole dans le cadre d'une formation en mobilité : tout stagiaire parti avec une aide de l'Agence de l'outre-mer pour la mobilité qui décède en cours de formation n'est plus considéré comme un stagiaire rentrant au pays, et c'est à la famille qu'il appartient de couvrir les frais de rapatriement de la dépouille. Il me semble que nous pourrions associer tous ces cas de figure dans le même amendement.