Non, ce qu’on souhaite et ce que permet cet article, c’est viser les 650 ou 700 grandes entreprises – on est donc bien au-delà du CAC40 – qui peuvent éventuellement se livrer à des pratiques dévoyées, que vous condamnez très justement, mais sans aller jusqu’à fragiliser un tissu d’entreprises qui représente aujourd’hui le ressort économique de la France et l’espoir de renouer avec une croissance plus soutenue et une création d’emplois plus importante. C’est cet équilibre qu’il nous faut savoir mesurer.