Je comprends l'inquiétude de Gabriel Serville compte tenu de la situation en Guyane. J'indique néanmoins que, si, lorsque nous avons voté à l'unanimité la loi sur l'habitat insalubre, nous n'avions pas rendu obligatoire l'inventaire commune par commune. C'est chose faite depuis la loi sur l'actualisation du droit. Il est donc possible aujourd'hui de s'appuyer sur ces inventaires pour élaborer une stratégie appropriée.