Il s'agit de renforcer la préservation du patrimoine naturel de la montagne parmi les priorités de l'action de l'État, telles qu'elles avaient été définies en 1985. Il nous a semblé que la seule mention de la qualité des espaces naturels et du paysage était insuffisante, et que l'expression de patrimoine naturel avait plus d'ampleur.