Si l'on n'adapte pas la réglementation applicable à l'hôtellerie-restauration de montagne, ce sont 25 % de cette économie qui disparaîtront. Comment soumettre aux mêmes normes un hôtel parisien de 700 chambres et un hôtel de montagne de neuf chambres, qui est cloisonné, serré derrière des rochers ?
Il faut faire preuve de bon sens et adapter la règle générale à la spécificité de nos territoires ainsi qu'à ses cas particuliers.