Monsieur le président, vous ne découvrez pas aujourd'hui que je suis décentralisateur. (Sourires) Personne ne découvre non plus que notre République fonctionne parfaitement, que tout se passe bien, qu'il n'y a aucun problème, et que nous pouvons continuer comme cela pendant encore vingt ou trente ans ! Vous verrez que cela se terminera mal ! (Murmures) Si nous voulons une nouvelle loi montagne qui dure trente ans, j'assume l'idée qu'il faut proposer autre chose.