Madame la rapporteure pour avis a raison d'insister sur la spécificité de la montagne. Il existe, par exemple, de nombreux villages de montagne pour lesquels les liaisons par transports collectifs sont suspendues en raison de la viabilité hivernale : les bus ne peuvent tout simplement pas y accéder, car c'est trop dangereux. D'autres villages ne sont accessibles que six mois dans l'année en raison de la fermeture de cols. À la montagne, les regroupements pédagogiques ne peuvent pas se faire normalement.