Votre lecture est partielle, madame la rapporteure. Je poursuis : « Dans les stations de montagne, les notions de proximité, de distance et de temps de parcours sont essentielles lorsqu'il s'agit d'évacuer les blessés. Pourtant, l'évacuation s'effectue le plus souvent vers les centres hospitaliers. Ce processus contribue à leur encombrement. » Pourquoi le 15 orienterait-il les blessés vers le centre hospitalier local plutôt que vers la maison médicale ?
Cela dit, l'amendement mérite peut-être d'être reformulé.