« En vertu de conventions », madame la rapporteure, c'est-à-dire que, tous les trois ans, il faut se battre lors du renouvellement de la convention pour que le RTM ne passe pas à la trappe, en raison de coupes budgétaires. Le RTM est sur le podium des services les plus importants dans les zones de montagne. Il est important de ne pas s'en tenir à la convention, d'autant que chaque ministre – de l'agriculture, de l'intérieur, de l'environnement – a tendance à refiler le bébé à son voisin. Puisque nous modernisons la loi montagne, c'est l'occasion de l'inscrire, une bonne fois pour toutes, dans le texte.