Cet amendement va dans le même sens en proposant de maintenir la compétence tourisme aux stations de montagne qui ont une marque à défendre. Que ces stations, comme toutes les communes classées touristiques, conservent leur office de tourisme me paraît indispensable, car un transfert à l'intercommunalité éloigne la décision. Tout le monde en est d'accord : le Premier ministre, au Conseil national de la montagne à Chamonix, s'est exprimé sur le sujet, et M. Baylet en a convenu également. Le présent article, cependant, ne règle pas le cas de la totalité des communes.
Nous avons revendiqué d'être la première destination au monde en termes de domaine skiable. Or nous venons d'être doublés par l'Amérique du Nord. Nous avons déjà connu cela et nous allons reconquérir cette position, mais il ne faut pas que la compétence soit gérée trop loin des stations.