C'est bien le sens du rapprochement que nous souhaitons entre le ministère de l'éducation nationale et celui des transports. Au moment où l'état d'urgence a été déclaré, des classes parisiennes qui avaient programmé des séjours en Savoie, Haute-Savoie et en Isère ont eu beaucoup de difficultés à obtenir des autorisations de transports. Si les accords tarifaires proposés dans cet amendement pouvaient être l'amorce de solutions, ce serait bien pour que les enfants puissent découvrir par ce moyen, comme ce fut le cas pour beaucoup d'entre nous, la montagne française, et pas seulement la pratique du ski.