Ces amendements posent un véritable problème rédactionnel : leur formulation n'est guère conforme à ce dont nous avons l'habitude dans nos assemblées. Je propose que nous abordions la question des secours, de la régulation des victimes et de leur prise en charge – ainsi que celle des coûts induits – dans le cadre d'un dialogue avec le ministère de l'intérieur et le ministère des affaires sociales, l'un et l'autre étant concernés. Je préfèrerais une telle discussion constructive à l'adoption d'une mesure bancale et donc inapplicable.