Je veux soutenir la démarche des maires, qui est également celle des associations environnementalistes, en particulier de l'association Mountain wilderness. Le comité de massif des Alpes a considéré qu'il s'agit là d'un sujet extrêmement important, qui est effectivement un effet pervers de la loi ALUR.
Je ne sais pas si la rédaction retenue par les maires de la vallée de l'Arve correspond parfaitement à l'objectif. En tout état de cause, il est indispensable de trouver une solution pour que les enfants des habitants de ces communes où la pression est énorme ne soient pas exclus des territoires sur lesquels ils sont nés et sur lesquels ils voudraient pouvoir habiter, à moins de 6 000 euros le mètre carré de terrain.