Je pensais que, contrairement aux amendements de M. Philippe Folliot, qui, à quatre reprises, ont échappé à l'article 40, celui-ci, pourtant très important, n'y couperait pas. Je salue les avancées inscrites dans cette loi, sur les aménités et autres, mais nous aimerions entrer dans la phase d'après, un peu plus sonnante et trébuchante. Au-delà de la reconnaissance générale de ce qu'apporte la montagne au reste de la nation, il faut que cet apport soit concrètement reconnu dans la répartition financière.