Le but de l'opération, c'est-à-dire de la structuration financière, était d'avoir un nouvel Alstom sans dette. Ce but a été atteint. Cela n'a aucun rapport avec le sujet qui nous occupe aujourd'hui. Dès 2013, j'ai dit que le site de Belfort était en danger en raison d'un manque de commandes.
Enfin, le site de Tarbes est et restera le centre mondial d'Alstom pour les tractions. Nous avons investi 30 millions d'euros pour refaire entièrement le site, très compétitif avec essentiellement des activités d'ingénierie, de recherche et développement, de prototypes, de tests. Des ajustements marginaux sont possibles, mais ce site est tout à fait stable.