volatilité des cours, compétitivité en berne, contractualisation des filières et complexité administrative sans cesse croissante.
Par exemple, monsieur le ministre, l’arrêté que vous vous apprêtez à prendre sur l’extension des zones non-traitées fera perdre près de 4 millions d’hectares cultivables à notre pays. C’est inadmissible ! Non, monsieur le ministre, les agriculteurs ne sont pas des empoisonneurs ; ils veulent juste vivre de leur travail. Ce n’est pas avec une mesure aussi dogmatique et uniforme que vous redonnerez confiance à la profession.
Monsieur le ministre, ma question est simple : comptez-vous revenir sur cet arrêté funeste pour la profession agricole ?