Le cri du monde agricole, c’est d’abord celui de ces hommes et de ces femmes qui luttent pour leur survie économique et leur dignité. C’est le cri de ceux qui souffrent et qui nous interpellent. C’est également notre « commun » qui est fragilisé : celui de l’économie rurale, celui de nos écosystèmes, celui d’une nation qui a été le berceau de la gastronomie et de l’agronomie.