Monsieur le commissaire, vous nous avez déclaré que la Commission européenne est ouverte à la simplification des règles. Certaines réflexions portent aussi sur la possibilité de faire sortir certaines dépenses, notamment des dépenses de défense, du calcul du déficit. Je suis preneur de votre point de vue sur ce sujet.
Je partage au reste votre inquiétude quant à la persistance d'une culture des déficits dans notre pays. Si, par malheur, la trajectoire de réduction du déficit public n'était pas tenue, que pourriez-vous faire ? J'ai parfois l'impression que la Commission européenne n'est, dans cette hypothèse, armée que d'un sabre de bois.