Il est tout de même paradoxal que ceux qui nous reprochent, depuis cinq ans, de ne pas aller assez vite dans la réduction du déficit annoncent aussi qu'ils sont prêts à envoyer cette trajectoire dans le décor. Quelle serait la réaction de la Commission européenne et quelles seraient les conséquences pour la place de la France dans le concert des nations européennes ?
S'agissant du reporting public et du projet de loi « Sapin II », pouvez-vous nous dire si vous conservez l'ambition de faire adopter avant la fin de l'année la directive européenne à laquelle il fait référence ?