Je me félicite de ce que les demandes réitérées sur la prise en compte de certaines dépenses dans le calcul des critères de Maastricht, telles les dépenses liées à la défense et à la lutte contre le terrorisme, fassent peu à peu leur chemin. À défaut d'une déduction pure et simple, il semble que la Commission européenne les prenne en compte dans les appréciations qu'elle porte.
Lorsque j'entends parler d'une Allemagne du plein emploi, je tiens à souligner que la précarité et la pauvreté sont tout de même préoccupantes dans ce pays. Que cela soit passé sous silence, voilà qui me chiffonne.