D'expérience, j'en suis tout à fait convaincue. C'est pour cela que je suis surprise du tollé des membres de l'opposition ayant siégé et participé aux travaux puisque la discussion portait sur l'amendement présenté par Sergio Coronado. J'avais apporté une réponse très détaillée en rappelant, d'une part, le principe intangible de l'indisponibilité du corps qui ne peut souffrir, selon moi, la moindre éraflure. C'est la première réponse que j'ai donnée. La deuxième a été de dire que ces enfants existent néanmoins. J'ai précisé alors, qu'indépendamment de la formule des fantômes de la République, ces enfants ont un état civil.