C'est la seconde fois en huit jours qu'il tient des propos insultants relevant du fait personnel. Ce n'est pas acceptable, j'y insiste, au titre des responsabilités qui sont les siennes.
Soit, monsieur le président, vous mettez fin au débat et nous reprendrons demain, soit vous demandez au président de l'Assemblée – j'ai constaté qu'il était là tout à l'heure – de réunir la Conférence des présidents. En tout cas, nous ne pouvons pas laisser passer ces faits. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)